Témoins imposants de la révolution industrielle, les terrils permettent à l’observateur de se faire une idée des quantités colossales de charbon extrait dans la région. Ces collines artificielles constituées de schistes, de grès et de déblais divers perpétuent le nom et le souvenir des puits aujourd’hui disparus : Frédéric, Sauwartan, Machine à Feu…
Envie de découvrir ce riche patrimoine???
La commission de Gestion des Terrils du Borinage vous invite à emprunter la promenade du Triangle des Stériles dont elle est à la base. Vous y ferez une promenade riche des témoins de notre passé
Pour télécharger le tryptique: http://www.communedour.be/site/Inauguration-circuit-pedestre.html
Vous pouvez, également, consuslter un reportage sur cette promenade réalisé par Télé MB via le lien suivant: http://www.telemb.be/content/view/8361/166/
lundi 19 septembre 2011
Journée de gestion au Terril Frédéric à Dour le vendredi 25 février 2011
Le vendredi 25 février 2011, la Section Environnement de l’Institut Saint-Joseph de Saint-Ghislain a participé à une demi-journée de gestion au terril Frédéric de Dour. Elèves et professeurs ont été accueillis par Jean-Luc Deghilage, le conservateur de la réserve. Ils ont eu pour mission le dévasement de la mare naturelle créée au pied du terril à partir d’un bras mort du ruisseau Hanneton. La deuxième activité a été de défricher des arbustes aux alentours de cette mare afin d’y apporter un peu plus de lumière.
Le travail terminé, ils ont découvert le terril, ses particularités floristiques et faunistiques ainsi que des ruches installées depuis peu. Ils ont alors observé les abeilles déjà en activité.
Toute l’équipe a passé une très bonne journée dans la bonne humeur générale et les participants sont retournés satisfaits d’avoir apporté leur petite pierre à la préservation d’une réserve naturelle. En effet la gestion est importante si on veut que la biodiversité puisse s’y développer !
Si vous voulez suivre ces élèves impliqués dans l’environnement, vous pouvez consulter leur site internet : terretous.com
mardi 6 septembre 2011
Notre réserve à l'honneur
Notre belle réserve vient de faire l’objet d’un chouette reportage de notre télévision locale (Télé MB).
Vous pouvez découvrir ce reportage via le lien suivant : http://www.telemb.be/content/view/8743/166/
Vous pouvez découvrir ce reportage via le lien suivant : http://www.telemb.be/content/view/8743/166/
mercredi 22 septembre 2010
Projet Batraciens sur nos routes
Au commencement, Il y a toujours eu le têtard.
Mais les devenir sont multiples : tritons, grenouilles, crapauds…
Chacune des espèces de ces curieux animaux que sont les amphibiens (du grec amphi « en double » et bios « vie » signifie « qui a deux vies ») connaissent donc deux stades ; d’une part, la vie aquatique que mènent les larves et têtards et d’autre part la vie terrestre que mènent les jeunes et les adultes.
Entre les deux, la métamorphose : qui est une phase délicate, s’accompagnant de transformations fondamentales, comme le passage d’une respiration branchiale (aquatique) a une respiration pulmonaire (aérienne).
Leur squelette originel détermine un mode de déplacement très primitif.
Observez la marche du triton, d’un lézard,… pour se déplacer les pattes et le tronc en entier ondulent.
Leur mode de vie terrestre est passé lors de la confirmation des membres, transformés en pattes. Mais le squelette de celles-ci reste néanmoins très voisin de celui des nageoires des poissons.
En effet, c’est grâce aux batraciens qu’a été réalisé le passage des vertébrés du milieu aquatique au milieu terrestre.
On pourrait dire que les espèces actuelles de batraciens revivent ce passage ancestral lors de leur développement : la larve aquatique subit une métamorphose la transformant en un animal terrestre.
Les adultes carnivores capturent insectes, arthropodes, limaces, etc. À l’aide de leur langue protractile.
Et les larves capturent de petites proies : des micro-crustacés
Dans les divers mouvements migratoires, on retrouve la migration prénuptiale.
Fin de l’hiver, les déplacements des adultes peuvent commencer dès la mi-février, après la tombée du jour. Les conditions doivent être optimales, aussi bien en température (de l’ordre de 7-8°C) qu’en taux d’humidité qui doit être important. Cette migration peut s’étaler jusque début avril, si des périodes de froid la ralentisse.
Lors de la migration, les adultes se déplacent de leur lieu d’hivernation vers leur lieu de reproduction.
C’est la migration la plus spectaculaire, car elle est assez concentrée dans le temps ce qui nous permet d’organiser des sauvetages rapides.
La migration postnuptiale, quant à elle, a lieu après la ponte, les adultes quittent l’eau pour rejoindre leur séjour d’été. Ces deux migrations peuvent se chevaucher dans le temps.
Comme tous ne quittent pas l’eau dans les mêmes délais, ces migrations sont plus étalées dans le temps.
Les migrations estivales ,les jeunes crapauds et grenouilles, après leurs métamorphoses au mois de juin, sortent à peu près simultanément des points d’eau et on peut assister parfois à ce qu’on appelle une « pluie de grenouille » pendant cette dispersion massive.
Bien, des préjugés circulent encore sur nos batraciens et reptiles.
Pourtant, ils sont utiles en consommant de nombreux insectes, limaces et autres invertébrés.
C’est une des raisons pour lesquelles ils sont protégés intégralement par la loi ainsi que leurs larves et leurs œufs.
Malgré cela, ils sont en régression voire en disparition dans notre pays.
Pour différentes raisons : disparition de leurs milieux de vie qui sont liés a des habitats bien particuliers et, qui doivent répondre aux impératif de leur double vie, par destruction occasionné par le trafic routier et toutes sortent d’agressions multiples, et pollutions de tout genre, etc..
En effet, vers la fin de l’hiver, de nombreuses espèces de batraciens traversent massivement certaines routes pour accomplir leur migration nocturne qui les conduit vers leurs lieux de reproduction. Ainsi des centaines de crapauds et grenouilles périssent sous les roues des voitures ou simplement aspirés par le déplacement d’air et projetés contre la carrosserie.
Vous pouvez donc par un acte citoyen éviter d’anéantir la population de batraciens de notre région de Dour, rue Pont-a-Cavins.
Venez rejoindre les membres de la Commission de gestion des terrils du Borinage qui seront présents au moment du pic de traversée des batraciens, il vous sera donc facile de nous interpeller sur le bon déroulement du ramassage des animaux qui seront conduits vers l’étang, lieu d’accouplement et de pontes.
Ce ramassage sera signalé par une signalisation routière (traversée nocturne de batraciens) pendant une période de plusieurs semaines.
Pour en savoir plus :www.batraciens.be/36
Mais les devenir sont multiples : tritons, grenouilles, crapauds…
Chacune des espèces de ces curieux animaux que sont les amphibiens (du grec amphi « en double » et bios « vie » signifie « qui a deux vies ») connaissent donc deux stades ; d’une part, la vie aquatique que mènent les larves et têtards et d’autre part la vie terrestre que mènent les jeunes et les adultes.
Entre les deux, la métamorphose : qui est une phase délicate, s’accompagnant de transformations fondamentales, comme le passage d’une respiration branchiale (aquatique) a une respiration pulmonaire (aérienne).
Leur squelette originel détermine un mode de déplacement très primitif.
Observez la marche du triton, d’un lézard,… pour se déplacer les pattes et le tronc en entier ondulent.
Leur mode de vie terrestre est passé lors de la confirmation des membres, transformés en pattes. Mais le squelette de celles-ci reste néanmoins très voisin de celui des nageoires des poissons.
En effet, c’est grâce aux batraciens qu’a été réalisé le passage des vertébrés du milieu aquatique au milieu terrestre.
On pourrait dire que les espèces actuelles de batraciens revivent ce passage ancestral lors de leur développement : la larve aquatique subit une métamorphose la transformant en un animal terrestre.
Les adultes carnivores capturent insectes, arthropodes, limaces, etc. À l’aide de leur langue protractile.
Et les larves capturent de petites proies : des micro-crustacés
Dans les divers mouvements migratoires, on retrouve la migration prénuptiale.
Fin de l’hiver, les déplacements des adultes peuvent commencer dès la mi-février, après la tombée du jour. Les conditions doivent être optimales, aussi bien en température (de l’ordre de 7-8°C) qu’en taux d’humidité qui doit être important. Cette migration peut s’étaler jusque début avril, si des périodes de froid la ralentisse.
Lors de la migration, les adultes se déplacent de leur lieu d’hivernation vers leur lieu de reproduction.
C’est la migration la plus spectaculaire, car elle est assez concentrée dans le temps ce qui nous permet d’organiser des sauvetages rapides.
La migration postnuptiale, quant à elle, a lieu après la ponte, les adultes quittent l’eau pour rejoindre leur séjour d’été. Ces deux migrations peuvent se chevaucher dans le temps.
Comme tous ne quittent pas l’eau dans les mêmes délais, ces migrations sont plus étalées dans le temps.
Les migrations estivales ,les jeunes crapauds et grenouilles, après leurs métamorphoses au mois de juin, sortent à peu près simultanément des points d’eau et on peut assister parfois à ce qu’on appelle une « pluie de grenouille » pendant cette dispersion massive.
Bien, des préjugés circulent encore sur nos batraciens et reptiles.
Pourtant, ils sont utiles en consommant de nombreux insectes, limaces et autres invertébrés.
C’est une des raisons pour lesquelles ils sont protégés intégralement par la loi ainsi que leurs larves et leurs œufs.
Malgré cela, ils sont en régression voire en disparition dans notre pays.
Pour différentes raisons : disparition de leurs milieux de vie qui sont liés a des habitats bien particuliers et, qui doivent répondre aux impératif de leur double vie, par destruction occasionné par le trafic routier et toutes sortent d’agressions multiples, et pollutions de tout genre, etc..
En effet, vers la fin de l’hiver, de nombreuses espèces de batraciens traversent massivement certaines routes pour accomplir leur migration nocturne qui les conduit vers leurs lieux de reproduction. Ainsi des centaines de crapauds et grenouilles périssent sous les roues des voitures ou simplement aspirés par le déplacement d’air et projetés contre la carrosserie.
Vous pouvez donc par un acte citoyen éviter d’anéantir la population de batraciens de notre région de Dour, rue Pont-a-Cavins.
Venez rejoindre les membres de la Commission de gestion des terrils du Borinage qui seront présents au moment du pic de traversée des batraciens, il vous sera donc facile de nous interpeller sur le bon déroulement du ramassage des animaux qui seront conduits vers l’étang, lieu d’accouplement et de pontes.
Ce ramassage sera signalé par une signalisation routière (traversée nocturne de batraciens) pendant une période de plusieurs semaines.
Pour en savoir plus :www.batraciens.be/36
Le terril Frédéric de Dour se dote d’un rucher
Toujours pour avancer dans le sens de la biodiversité, des ruches éliront bientôt domicile sur le terril Frédéric de Dour.
Ce projet est né au mois d’octobre 2009 suite à une rencontre entre Jean-Luc Deghilage du terril et Philippe Lambert du Rucher du Haut Pays (RHP) qui ont ensuite œuvrés pour que dès 2010, des abeilles puissent être introduites sur la réserve Frédéric et ainsi enrichir par la même occasion la vallée du Hanneton qui mérite toute notre attention pour sa conservation.
Pourquoi des ruches ?... Au delà de la production de miel, de par leur action de pollinisation les abeilles ont un rôle majeur à jouer dans la préservation, la multiplication et la diversification de la flore dans nos espaces verts. Flore qui comme vous le savez est également le support de la vie animale, et bien entendu de sa diversité.
Au delà de l’intérêt environnemental, la présence d’abeilles sur la réserve aura en plus une vocation pédagogique et pourra être observée lors de visites guidées dans la réserve.
La difficulté de cette implantation résidait à trouver des emplacements possibles répondant aux expositions voulues pour le bien être des abeilles tout en tenant compte à la fois du relief et des possibilités d’accès au terril.
Après plusieurs visites à des périodes différentes, deux emplacements ont été retenus ainsi que le tracé d’un sentier pour en permettre l’accès technique, nécessaire aux manutentions saisonnières voulues par l’activité d’apiculture.
Lors de la gestion du 6 février l’emplacement des deux futurs ruchés et le sentier d’accès technique ont été ouverts et débarrassés des différents obstacles et broussailles par Philippe et Corinne. Jean-Luc, Georges et Francine se sont chargés eux de ramasser et d’éliminer l’ensemble des déchets de toute sorte abandonnés et accumulés tout au long du terril dans la rue de l’enfer.
La gestion du 6 mars a permis la manutention des matériaux et la construction des embases destinées à recevoir les ruches. Il a été également nécessaire de restaurer et rehausser certaines clôtures et barrières pour protéger les lieux d’éventuels visites indésirables. Tout cela avec la participation de Jean-Luc, Philippe, Corinne, et un couple d’amis français venus prêter main forte.
Philippe et Corinne qui sont apiculteurs dans le Haut Pays installeront les premières ruches très probablement vers le début avril en fonction des conditions climatiques. Les abeilles pourront de cette manière déjà remplir pleinement leur rôle sur la réserve naturelle dès la floraison des fruitiers et par la suite participer à la pollinisation de toutes les autres floraisons qui se succèderont tout au long de cette saison 2010.
Seule les personnes mandatées par le Rucher du Haut Pays assureront toutes les manipulations et suivis des ruches prêtées et ce tout au long des saisons qui suivront. Les responsables des ruches restent bien évidement ouverts à vos questions, suggestions et remarques. Il est également possible d’accompagner et d’assister à certaines interventions pour les personnes que cela intéresseraient.
Vous pouvez nous contacter sur: rucherduhautpays@scarlet.be .
Ce projet est né au mois d’octobre 2009 suite à une rencontre entre Jean-Luc Deghilage du terril et Philippe Lambert du Rucher du Haut Pays (RHP) qui ont ensuite œuvrés pour que dès 2010, des abeilles puissent être introduites sur la réserve Frédéric et ainsi enrichir par la même occasion la vallée du Hanneton qui mérite toute notre attention pour sa conservation.
Pourquoi des ruches ?... Au delà de la production de miel, de par leur action de pollinisation les abeilles ont un rôle majeur à jouer dans la préservation, la multiplication et la diversification de la flore dans nos espaces verts. Flore qui comme vous le savez est également le support de la vie animale, et bien entendu de sa diversité.
Au delà de l’intérêt environnemental, la présence d’abeilles sur la réserve aura en plus une vocation pédagogique et pourra être observée lors de visites guidées dans la réserve.
La difficulté de cette implantation résidait à trouver des emplacements possibles répondant aux expositions voulues pour le bien être des abeilles tout en tenant compte à la fois du relief et des possibilités d’accès au terril.
Après plusieurs visites à des périodes différentes, deux emplacements ont été retenus ainsi que le tracé d’un sentier pour en permettre l’accès technique, nécessaire aux manutentions saisonnières voulues par l’activité d’apiculture.
Lors de la gestion du 6 février l’emplacement des deux futurs ruchés et le sentier d’accès technique ont été ouverts et débarrassés des différents obstacles et broussailles par Philippe et Corinne. Jean-Luc, Georges et Francine se sont chargés eux de ramasser et d’éliminer l’ensemble des déchets de toute sorte abandonnés et accumulés tout au long du terril dans la rue de l’enfer.
La gestion du 6 mars a permis la manutention des matériaux et la construction des embases destinées à recevoir les ruches. Il a été également nécessaire de restaurer et rehausser certaines clôtures et barrières pour protéger les lieux d’éventuels visites indésirables. Tout cela avec la participation de Jean-Luc, Philippe, Corinne, et un couple d’amis français venus prêter main forte.
Philippe et Corinne qui sont apiculteurs dans le Haut Pays installeront les premières ruches très probablement vers le début avril en fonction des conditions climatiques. Les abeilles pourront de cette manière déjà remplir pleinement leur rôle sur la réserve naturelle dès la floraison des fruitiers et par la suite participer à la pollinisation de toutes les autres floraisons qui se succèderont tout au long de cette saison 2010.
Seule les personnes mandatées par le Rucher du Haut Pays assureront toutes les manipulations et suivis des ruches prêtées et ce tout au long des saisons qui suivront. Les responsables des ruches restent bien évidement ouverts à vos questions, suggestions et remarques. Il est également possible d’accompagner et d’assister à certaines interventions pour les personnes que cela intéresseraient.
Vous pouvez nous contacter sur: rucherduhautpays@scarlet.be .
Une première mare dans la réserve Frédéric grâce au SAS de Mons
Une première mare dans la réserve Frédéric
Le service de décrochage scolaire de Mons est un service qui permet aux jeunes en difficulté scolaire, parfois prolongé, de se réintégrer dans le cursus scolaire par la réalisation de différentes activités. L’une de ces activités est plus particulièrement impliquée dans le domaine de la protection de la nature.
C’est précisément dans le cadre de ces activités qu’à débuté notre collaboration avec le S.A.S sur le site de Dour. L’accent a surtout été porté sur une approche de deux journées les plus relax et sympathique que possible notamment par le creusement d’une mare.
Malgré tous le creusement de celle-ci, dans le bras mort du hanneton, n’a pas été une tâche facile, d’autant que rapidement la terre est devenue une boue de plus en plus humide et de plus en plus profonde à extraire, le tout sur un sol accidenté et glissant. Cela nous a donné quelques situations assez cocasses.
Malgré les nombreuses difficultés rencontrées lors du creusement de cette mare, la bonne humeur a régné grâce sans doute à la soupe faite maison par Francine et Stéphanie. Le gâteau de Danielle a également fait des amateurs.
Il est certain que par ces contacts avec la nature, les éducateurs ont trouvé une des voies possibles pour renforcer l’esprit d’ouverture, d’entreprendre des jeunes qui pourront, on leur souhaite, ne passer que très peu de temps au sein du service et être de nouveau en selle pour reprendre leurs études.
Espérons que notre collaboration aura également permis de les sensibiliser à la protection de l’environnement et de la nature.
Comme vous pouvez le voir sur les photos, l’endroit d’implantation est très argileux, ce qui nous permet de déjà disposer d’une belle surface de mare. Gageons que celle-ci se remplisse rapidement de vie et quelle aura un jour une grande sœur.
Le service de décrochage scolaire de Mons est un service qui permet aux jeunes en difficulté scolaire, parfois prolongé, de se réintégrer dans le cursus scolaire par la réalisation de différentes activités. L’une de ces activités est plus particulièrement impliquée dans le domaine de la protection de la nature.
C’est précisément dans le cadre de ces activités qu’à débuté notre collaboration avec le S.A.S sur le site de Dour. L’accent a surtout été porté sur une approche de deux journées les plus relax et sympathique que possible notamment par le creusement d’une mare.
Malgré tous le creusement de celle-ci, dans le bras mort du hanneton, n’a pas été une tâche facile, d’autant que rapidement la terre est devenue une boue de plus en plus humide et de plus en plus profonde à extraire, le tout sur un sol accidenté et glissant. Cela nous a donné quelques situations assez cocasses.
Malgré les nombreuses difficultés rencontrées lors du creusement de cette mare, la bonne humeur a régné grâce sans doute à la soupe faite maison par Francine et Stéphanie. Le gâteau de Danielle a également fait des amateurs.
Il est certain que par ces contacts avec la nature, les éducateurs ont trouvé une des voies possibles pour renforcer l’esprit d’ouverture, d’entreprendre des jeunes qui pourront, on leur souhaite, ne passer que très peu de temps au sein du service et être de nouveau en selle pour reprendre leurs études.
Espérons que notre collaboration aura également permis de les sensibiliser à la protection de l’environnement et de la nature.
Comme vous pouvez le voir sur les photos, l’endroit d’implantation est très argileux, ce qui nous permet de déjà disposer d’une belle surface de mare. Gageons que celle-ci se remplisse rapidement de vie et quelle aura un jour une grande sœur.
Participation au Week-end Wallonie Bienvenue
Dans le cadre du Wallonie Week-End Bienvenue à Dour, les 14 et 15 novembre 2009, la locale douroise de la Commission de Gestion des Terrils du Borinage était l’un des 60 ambassadeurs.
La Commission de Gestion des Terrils du Borinage présentait deux expositions concernant la nature et les paysages en Haut-Pays et au Borinage : une exposition didactique sur les terrils et un itinéraire artistique illustrant le Haut-Pays.
Le samedi matin, malgré la pluie, une bonne vingtaine de participants étaient présents pour une superbe balade qui s’est terminée sous le soleil et dans la bonne humeur. Le départ de la marche fut l’occasion de lancer les expositions et d’exposer l’intérêt culturel et naturel de la promenade. En effet, celle-ci parcourait la vallée du ruisseau de Hanneton, charmante vallée bocagère marquée par le terril Frédéric, le terril Saint-Charles et le bois de Saint-Ghislain. Malheureusement, une météo déplorable et le manque de candidats nous firent annuler la balade pour les enfants du dimanche matin.
Une bonne soixantaine de personnes ont visité les expositions durant les deux jours, ce qui a permis de faire connaître la réserve, la Commission de Gestion des Terrils du Borinage et Natagora ainsi que nos préoccupations et nos objectifs en matière de sauvegarde du patrimoine naturel et paysager. Vu les résultats de cette manifestation, nous pouvons être satisfaits de la fréquentation de nos activités.
La Commission de Gestion des Terrils du Borinage présentait deux expositions concernant la nature et les paysages en Haut-Pays et au Borinage : une exposition didactique sur les terrils et un itinéraire artistique illustrant le Haut-Pays.
Le samedi matin, malgré la pluie, une bonne vingtaine de participants étaient présents pour une superbe balade qui s’est terminée sous le soleil et dans la bonne humeur. Le départ de la marche fut l’occasion de lancer les expositions et d’exposer l’intérêt culturel et naturel de la promenade. En effet, celle-ci parcourait la vallée du ruisseau de Hanneton, charmante vallée bocagère marquée par le terril Frédéric, le terril Saint-Charles et le bois de Saint-Ghislain. Malheureusement, une météo déplorable et le manque de candidats nous firent annuler la balade pour les enfants du dimanche matin.
Une bonne soixantaine de personnes ont visité les expositions durant les deux jours, ce qui a permis de faire connaître la réserve, la Commission de Gestion des Terrils du Borinage et Natagora ainsi que nos préoccupations et nos objectifs en matière de sauvegarde du patrimoine naturel et paysager. Vu les résultats de cette manifestation, nous pouvons être satisfaits de la fréquentation de nos activités.
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