Après une courte présentation des objectifs de notre Commission, l’approche de la réserve se fait par la zone Nord, dans les Wallans, ce qui permet de se rendre compte de l’impact du terril sur la vallée du Hanneton, côté dourois et de la nécessité de protéger toute la vallée. C’est le moment de partager et de préciser les motivations de chacun ainsi que les différentes façons de s’engager.
Vient ensuite l’approche du versant sud, sur lequel se
développent les travaux de gestion où le souci majeur est de maîtriser
l’afforestation et de permettre le développement et la floraison des espèces
végétales caractéristiques des terrils. Pour atteindre le sommet de la réserve, haute
de 50 m le sentier est difficile et le bâton d’un grand secours. Une fois au
sommet, les échanges et les explications se multiplient.
Après une petite visite aux abeilles installées sur le
terril, les participants ont quitté la réserve, non sans remercier d’avoir fait
la connaissance d’un milieu écologique particulièrement riche et souvent encore
trop peu connu.
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